En évoquant l’affaire dans sa dernière livraison, Libération indiquait que la méthode employée rappelait celle des réseaux se réclamant de Qnet.

Simple coïncidence ? L’Economic and organized crime office (Eoco) du Ghana a annoncé avoir secouru, vendredi dernier, 26 victimes d’un réseau de traite d’humains.

L’opération, menée sous le nom de code «Quest », s’est soldée par l’arrestation de neuf suspects à savoir deux Ivoiriens et sept Ghanéens. Les victimes, rapporte le confrère, composées de 10 Ivoiriens et de 16 Ghanéens, avaient été appâtées par des offres d’emploi lucratives liées à Qnet.

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