
On nous fait croire que quelqu’un viendra.
Un recruteur, un investisseur, un associé, un sauveur.
Mais un jour, tu réalises : personne ne viendra.
Et c’est dur, mais c’est aussi libérateur.
Parce qu’à ce moment précis, tu comprends que tu détiens les clés.
Tu cesses d’attendre et tu agis.
C’est souvent dans le désarroi, la difficulté extrême que naît la lucidité.
Tu n’as plus rien, alors tu construis autrement. Parce que tu n’as pas le choix.
Tu n’attends plus de permission, tu la prends. Ben ouais, parce qu’on t’a toujours dit qu’il fallait demander l’autorisation.
J’ai appris à ne plus dépendre de la validation extérieure.
À ne plus chercher l’approbation.
À avancer, même seule, même fatiguée, même quand personne n’y croit.
Et c’est là que la vie commence à t’aider.
Parce qu’elle répond à l’énergie que tu émets.
Elle te teste, mais elle te soutient si tu avances.
Ne cherche pas un sauveur.
Devient le tien.
Et tu verras, la force qui t’habitait depuis toujours se révélera d’elle-même.